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(Françoise Hardy/Alain Lubrano) Toutes sortes de personnes marchent dans les rues Femmes et hommes à peine entrevus. J'attire pour rien, des sourires inconnus. Tu me tiens comme une cause perdue... Oublie-moi chaque jour un peu plus. T'as pas le choix, affaire entendue. Ça vient de loin, l'envie de rien faire. J'aurais besoin d'un pote, d'un frère Pour faire le point, tenter d'y voir clair Et que demain soit mieux qu'hier. Car toi et moi, mêmes dépendances Même goût pour les eaux troubles, souffrance Faiblesse qui enveniment les relations trop intimes de toi à moi... Toutes sortes de personnes croisent mon chemin Me questionnent, souvent pour mon bien. Toutes sortes de femmes cherchent à me prendre la main Mais le charme ne va pas plus loin. Oublie-moi chaque nuit un peu plus. C'est comme ça, message bien reçu. Je mettrai du mien pour descendre sur terre Trouver quelqu'un, du moins j'espère. Un jour, demain, t'auras des nouvelles Tout ira bien, la vie sera belle. Car toi et moi, même attirance Même goût pour les eaux troubles, souffrance Faiblesse qui entraînent l'indifférence et la haine, de toi à moi... Oui toi et moi, mêmes dépendances Même goût pour les eaux troubles, malchance Paresse qui entraînent le démission de soi-même De toi, de moi, toi ou moi... Partir au loin, en solitaire, tout prendre en main pour me refaire. Car toi et moi, même impuissance Même goût pour les eaux troubles, errance Voyages qui entraînent des confusions, des absences soudaines. Oui toi et moi, même mésalliances Même goût pour les eaux troubles, violence Détresse qui inclinent à la destruction ultime pour toi et moi... |