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Paroles/Lyrics: Catherine Ribeiro Musique/Music: Francis Campello Au carrefour de ma solitude Et de mes illusions perdues Quand vont se coucher les étoiles Que s'apaisent nos ultimes craintes L'idée de l'homme transparaît Tumultueuse et dévorante L'infinie douceur de sa voix Trouble ma musique intérieure Il parle des à-coups de la vie En un murmure exacerbé Il dit qu'il faut encore lutter Alors que j'ai les reins cassés Et puis soudain, dans la nuit noire Après tant d'efforts déguisés La femme louve se réveille La faim lui dénoue les entrailles Dévoilant son corps dispersé À l'horizon soleil couché Dans des draps d'aube tourmentée Ses bras enserrent l'éternité Il la turbule et la patiente Elle n'est plus seule dans la chaleur Peu à peu s'ouvre sur le jour Un visage au regard nouveau Il devient le centre du monde Les quatre chemins de son âme Sous le feu de l'incertitude Leurs deux mains se sont détachées Elle veut le fondre à son amour Mais douc'ment, il s'est éloigné Il y a des plaintes qui s'entravent Elle n'attend plus rien ni personne Et son chagrin en mouvement Déjà se confond à l'abîme Si près de lui dans la douceur Si près de lui dans le néant. |