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(Jean Fredenucci/Jean Schmitt)

Je remets ce disque que tu n'écoutes pas, mon esprit est ailleurs.
Le front contre la vitre, je te revois partir en déchirant mon cœur.
Ta voiture s'est fondue dans la nuit
Et mon dieu, que c'est dur de voir mourir sa vie.

Ô oui le plus malheureux, c'est celui qui reste
Et celui qui reste, c'est moi.
Oui le plus malheureux, c'est celui qui reste
Et celui qui reste, c'est moi.

D'une main pensive je frôle les objets que tu aimais hier.
Tu gardes notre enfant, moi, cette maison froide où j'ai logé l'hiver.
Devant toi, j'ai su ne pas pleurer
Mais je n'ai même pas su garder cette fierté.

Ô oui le plus malheureux, c'est celui qui reste
Et celui qui reste, c'est moi.
Oui le plus malheureux, c'est celui qui reste
Et celui qui reste, c'est moi.