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(Patrick Juvet/Jean-Michel Rivat/Franck Thomas)

Regarde ta montre, il est déjà huit heures.
Embrassons-nous tendrement.
Un taxi t'emporte, tu t'en vas, mon coeur, parmi ces milliers de gens.
C'est un journée idéale pour marcher dans la forêt.
On trouverait plus normal, d'aller se coucher, seuls dans les genêts.

Le lundi au soleil, c'est un chose qu'on n'aura jamais.
Chaque fois, c'est pareil, c'est quand on est derrière les carreaux
Quand on travaille, que le ciel est beau
Qu'il doit faire beau sur les routes, le lundi au soleil.
Le lundi au soleil, on pourrait le passer à s'aimer.
Le lundi au soleil, on serait mieux dans l'odeur des foins.
On aimerant mieux cueillir le raisin
Ou simplement ne rien faire, le lundi au soleil.

Toi, tu es à l'autre bout de cette ville, là-bas, comme chaque jour.
Les dernières heures sont les plus difficiles, j'ai besoin de ton amour
Et puis dans la foule au loin, je te vois, tu me souris.
Les néons des magasins sont tous allumés, c'est déjà la nuit.

Le lundi au soleil, c'est un chose qu'on n'aura jamais.
Chaque fois, c'est pareil, c'est quand on est derrière les carreaux
Quand on travaille, que le ciel est beau
Qu'il doit faire beau sur les routes, le lundi au soleil.
Le lundi au soleil, on pourrait le passer à s'aimer.
Le lundi au soleil, on serait mieux dans l'odeur des foins.
On aimerant mieux cueillir le raisin
Ou simplement ne rien faire, le lundi au soleil.
Le lundi au soleil, c'est un chose qu'on n'aura jamais.
Chaque fois, c'est pareil, c'est quand on est derrière les carreaux
Quand on travaille, que le ciel est beau
Qu'il doit faire beau sur les routes, le lundi au soleil.