Lyric provided by www.seekalyric.com |
Il était un petit navire, il était temps que tu arrives Sur mon océan, sur mon océan. Chaque fois que tu y navigues, chaque fois, l'air devient plus libre De voler au vent, de voler au vent. Cache-cache à l'homme, qu'ai-je à me tordre ? Je vais, je viens, je repars, c'est la vague à l'homme en retard. Cache-cache, cache à l'homme, qu'ai-je à me tordre ? Il va, il vient, il repart, c'est le vogue à l'âme d'un soir. On dit que les femmes s'enivrent Qu'elles se tiennent au regard fuyant De marins s'en allant, marins s'en allant. Moi, je préfère les hommes sensibles. Lorsqu'ils se cachent dans l'amour naissant C'est tout nu dedans, tout nu dedans. Cache-cache à l'homme, qu'ai-je à me tordre ? Je vais, je viens, je repars, c'est la vague à l'homme en retard. Cache-cache, cache à l'homme, qu'ai-je à me tordre ? Il va, il vient, il repart, c'est le vogue à l'âme d'un soir. Il était un petit navire qui voguait comme l'on respire Je ne sais comment, je ne sais comment. Chaque fois, tout mon corps chavire Comme un phare, il est tant et tant. Mon petit navire, il en est à l'océan. |