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(Frédéric Château/Thierry Surgeon) Je te parle, oui je sais, fais-moi rien, ça y est, c'est fait. Ou tu vas ? Je ne sais pas, alors n'y va pas. Un baiser, je le mérite, un deuxième, tu vas trop vite. Sais-tu qu'il faut qu'on se trouve pour que l'on s'acquitte ? Quoi ? Rien... C'est une blague ? Non, je pleure, pourquoi ça ? J'ai mal au cœur. Je t'attends. T'es pressé, je vais te manquer. C'est une blague? J'ai rien dit, j'ai si froid. Je te guéris. Je t'aime tant et puis non... Oublie c'que j'ai dit... Oublie c'que j'ai dit. Je te regarde. Oui j'ai vu, j'te fais mal. Je m'habitue. Tu as faim ? Non et toi ? Je n'mange que ta voix. Je te laisse. Non tu restes, quand tu m'aimes, je te déteste. Je suis là, tu es là, comme tu vois À n'aimer que toi, à n'aimer que toi... C'est une blague ? Non, j'ai peur, pourquoi ça ? J'ai mal au cœur. Je t'attends. T'es pressé. Je vais te manquer. Quoi ? Rien... Quoi ? Rien ! Quoi ? Rien... On se touche de trop près, on se brouille, on fait la paix Pour être à nouveau ***, c'est l'hiver en juillet. On s'aimait entre guillemets. Quand on court plus qu'après des fantômes. Quoi ? Rien... Quoi ? Rien... Enlace-moi. Pas maintenant, pourquoi ça ? J'ai pas le temps. Je t'attends. Laisse tomber. Je vais te manquer. Je veux te manquer, tu veux me manquer. Derrière le rideau. |