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(Jerry Leiber/Mike Stoller) adaptation française Bernard Michel

Dans mon fauteuil, je regardais le film à la télé
Un type nommé Jojo le Bouffi poursuivait la pauvre Suzy
Il la coinça près d'la scierie et très méchamment lui dit
"Si tu m'donnes pas ton ranch, en moins d'deux
Je vais t'couper en deux" puis il l'empoigna
Et alors ? Ben, il la ficela, et alors ? Il la mit sous la scie
Et alors ? Et alors ?

Eh, eh, Zorro est arrivé sans s'presser
Le grand Zorro, le beau Zorro avec son ch'val et son grand chapeau

Mais bientôt j'ai pris la deuxième chaîne car un vieux schnock parlait
Charmante soirée, sur la deuxième chaîne, ils passaient le même navet
Près d'une cabane Jo le Bouffi coinçait la pauvre Suzy et il lui disait
"Donne-moi ton ranch, eh, poupée ! Ou j'te transforme en purée"
Puis il l'empoigna, et alors ? Ben, il la ficela
Et alors ? Il mit le feu à la dynamite, et alors ? Et alors ?

Eh, eh, Zorro est arrivé sans s'presser
Le grand Zorro, le beau Zorro avec son ch'val et son grand chapeau

Mais moi j'en avais tellement marre, j'ai repris la première chaîne
Et devant mes yeux, mes yeux hagards, se déroulait la même scène
Et Jojo, Jojo le Bouffi, dans un sac fourrait Suzy, disant
"Donne-moi ton ranch, eh, boudin ! Ou j'vais t'balancer sous l'train"
Puis il l'empoigna, et alors ? Ben il la ficela
Et alors ? Sur les rails il la fit rouler
Et alors ? Ben le train arrivait, les copains ! Et alors ? Et alors ?

Eh, eh, Zorro est arrivé sans s'presser
Le grand Zorro, le beau Zorro avec son ch'val et son grand chapeau
Avec son flingue et son grand lasso, avec ses bottes et son vieux banjo
Ah ! Ah ! Sacré Zorro, va ! Ah ah ah ah !