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(Bob Goldstein/David Shire) adaptation française Maurice Tézé La pluie d'hiver, sur les carreaux, frappait ses gouttes d'eau. La pluie d'hiver, sur les carreaux, jouait un air de banjo. Les doigts posés sur son banjo, le musicien dormait. Les doigts posés sur son banjo, le musicien rêvait, rêvait Que la musique qu'il avait composée Partait pour l'Amérique et y devenait un succès. Partout là-bas, la nuit, le jour, on jouait sa chanson Dont tous les mots parlaient d'amour, de retour et de pardon Afin, afin peut-être que celle qu'il aimait L'entende enfin, peut-être, et lui revienne à jamais. Tous les orchestres du monde entier, sans cesse, la jouaient Et lui, dans son rêve, il voyait des millions de couples danser Danser sur sa musique dans un rythme infernal Sur une immense piste, sortant d'une boule de cristal Et c'est alors qu'il aperçut la fille qu'il aimait. Et c'est alors qu'il aperçut la fille, la fille qui riait. La pluie d'hiver, sur les carreaux, cessa ses gouttes d'eau. La pluie d'hiver, sur les carreaux, cessa son air de banjo. Les doigts posés sur son banjo, le musicien pleurait Sans voir la porte qui s'ouvrait sur la fille qui revenait. |