On se croyait fort, on se croyait tout permis.
Les autres avaient tort, ils n'avaient rien compris
À nous voir faire la guerre à toute garantie
À ne pas laisser faire quand il suffisait d'un oui.

Et maintenant, nous voilà assis dans le salon.
La télé nous épargne la conversation.
Et maintenant, nous voilà assis comme deux cons.
La vie qu'on n'voulait pas, on s'y plaît pour de bon.

On se croyait fort, on se sentait plutôt fier
Avec nos armures et nos peintures de guerre.
On n'avait peur de rien, on avait plutôt l'air
D'être des mercenaires de notre quotidien.

Et maintenant, nous voilà assis dans le salon.
La télé nous épargne la conversation.
Et maintenant, nous voilà assis comme deux cons.
La vie qu'on n'voulait pas, on s'y plaît pour de bon.

(Guitare solo)

Et maintenant, nous voilà assis dans le salon.
La télé nous épargne la conversation.
Et maintenant, nous voilà assis comme deux cons.
La vie qu'on n'voulait pas, on s'y plaît pour de bon.
Et maintenant, nous voilà assis dans le salon.
La télé nous épargne la conversation.
Et maintenant, nous voilà assis comme deux cons.