(Axel Bauer/Ilhem Kadid)

On avance comme tous les jours et on marche, et on court.
La tête haute et les poings serrés, très bien dressés.
Ni le jour où on s'est penché, juste pour voir comment c'était.
C'est sûr qu'on est bien tombé, sans se relever.
Les états qui désarment, les sourires qui font mal
On n'ose jamais le dire.

Mais oui, personne n'est parfait, on se cache pour pleurer.
Ne pas se montrer à genoux, essoufflé.
Mais oui, personne n'est parfait, personne n'est parfait.

On avance comme tous les jours, on titube et on est sourd
Les yeux cernés, paupières enflées, bien trop fatigué.
Ni le jour où on se détache, qu'on se soûle, qu'on reste lâche
Ça s'embrouille et ça abîme de faire que passer.
Les états qui désarment, les sourires qui font mal
On n'ose jamais le dire.

Mais oui, personne n'est parfait, on se cache pour pleurer.
Ne pas se montrer à genoux, essoufflé
Mais oui, personne n'est parfait.

(Guitare solo)

Oui, personne n'est parfait, on se cache pour pleurer.
Ne pas se montrer à genoux, essoufflé
Mais oui, personne n'est parfait, personne n'est parfait.
Personne n'est parfait.