(Gérard Rinaldi/Jean Sarrus)

Cet été, (tibidibidi) c'était toi, (tibidibidi) t'étais là (tibidibidi)
Et puis vlan, (tibidibidi) t'es plus là (tibidibidi)
En automne (tibidibidi) ça m'étonne.
Cet aimé, (tibidibidi) c'était moi, (tibidibidi) j'étais là (tibidibidi)
Et puis vlan, j'suis plus là (tibidibidi)
En automne (tibidibidi) ça t'étonne.

L'amour était venu doucement un beau soir
Tendrement tu pressais un à un mes points noirs
Le soleil embrasait le ciel à l'horizon
C'était la première fois qu'on soignait mes boutons.

Cet été, (tibidibidi) c'était toi, (tibidibidi) t'étais là (tibidibidi)
Et puis vlan, (tibidibidi) t'es plus là (tibidibidi)
En automne (tibidibidi) ça m'étonne.
Cet aimé, (tibidibidi) c'était moi, (tibidibidi) j'étais là (tibidibidi)
Et puis vlan, j'suis plus là (tibidibidi)
En automne (tibidibidi) ça t'étonne.

Mais hélas, le destin sépare ceux qui s'aiment
Un jour j'ai dû presser tous mes points noirs moi-même
Le soleil comme avant embrasait l'horizon
Mais je pleurais bien trop pour voir mes comédons.

Cet été, (tibidibidi) c'était toi, (tibidibidi) t'étais là (tibidibidi)
Et puis vlan, (tibidibidi) t'es plus là (tibidibidi)
En automne (tibidibidi) ça m'étonne.
Cet aimé, (tibidibidi) c'était moi, (tibidibidi) j'étais là (tibidibidi)
Et puis vlan, j'suis plus là (tibidibidi)
En automne (tibidibidi) ça t'étonne.