(Lionel Florence/Philippe Jacquot)

Tant de plaisirs faciles, d'envies puériles
Qui nous retiennent vers le bas
Prêts à n'importe quel deal quand il faut mourir, on se met à tout croire.

Parce qu'on sait jamais, on regarde vers le haut
S'il y a un après, au moins sauver sa peau
Parce qu'on sait jamais s'il y a un après.

On est capable du pire, des mea culpa, de toutes les mauvaises fois
Qui pourrait encore dire qui est Saint Thomas quand son heure arrivera ?

Parce qu'on sait jamais, on regarde vers le haut
S'il y a un après, au moins sauver sa peau
Parce qu'on sait jamais s'il y a un après.

Et alors on baisse les bras pour venir se faire pardonner
D'y avoir cru tellement peu et de vouloir se racheter.

Parce qu'on sait jamais (parce qu'on sait jamais), on regarde vers le haut
S'il y a un après, au moins, au moins sauver sa peau.

Parce qu'on sait jamais
(Parce qu'on ne sait jamais, on regarde vers le haut)
On regarde vers le haut
(S'il y a un après, alors au moins sauver sa peau)
S'il y a un après
(Parce qu'on ne sait jamais, on regarde vers le haut)
Au moins sauver sa peau
(S'il y a un après, alors au moins sauver sa peau)

Parce qu'on sait jamais
(Parce qu'on ne sait jamais, on regarde vers le haut)
S'il y a un après (S'il y a un après, alors au moins sauver sa peau)

Parce qu'on sait jamais
(Parce qu'on ne sait jamais, on regarde vers le haut)
On regarde vers le haut
(S'il y a un après, alors au moins sauver sa peau)
S'il y a un après
(Parce qu'on ne sait jamais, on regarde vers le haut)
Au moins sauver sa peau
(S'il y a un après, alors au moins sauver sa peau)

Parce qu'on ne sait jamais, on regarde vers le haut.
S'il y a un après, alors au moins sauver sa peau.