(Davide Esposito/Luc Plamondon)

Quand je t'ai vu venir vers moi, mon cœur s'est arrêté de battre.
Ma photo là, sur le journal, c'était bien moi, l'homme à abattre.
Entre tes bras, tu m'as caché mais ils sont venus me chercher.

Je n'ai que toi au monde pour me parler d'amour
Que toi qui me répondes quand j'appelle au secours.
Je n'ai que toi au monde, que toi à qui confier
Mes blessures profondes et mes rêves brisés.
Je n'ai que toi au monde et si je te perdais
Je crois que j'en mourrais, tu sais.

Un beau matin de grand soleil, je marcherai le long du fleuve.
Tu m'attendras devant la grève où les chevaux s'abreuvent.
On fait des rêves souvent si beaux, derrière les barreaux.

Je n'ai que toi au monde pour me parler d'amour
Que toi qui me répondes quand j'appelle au secours.
Je n'ai que toi au monde, que toi à qui avouer
Par où je suis passé avant de te trouver.
Je n'ai que toi au monde et si je te perdais
Je crois que j'en mourrais, tu sais.

Je n'ai que toi au monde.
Je n'ai que toi au monde pour me parler d'amour
Que toi qui me répondes quand j'appelle au secours
Je n'ai que toi au monde et si je te perdais
Je crois que j'en mourrais, tu sais, je n'ai que toi au monde.