(Simon Caby/Bojidarka Esposito/Laura Marciano)

Au clair de la lune, au fond des dunes, mon chant des vagues divague
Ce que je vois, tu le reçois, ce que je sens, tu sais...
Alors pourquoi subir ? Nos lames de fond qui défont, rien dire...
Des rouleaux d'âme qui passent.
Nos coeurs d'enfants perdus font pair et impasse.

J'invoque nos ondes comme l'écho de tous mes mondes.
Si tu t'en vas loin de moi, tu nous tueras... Emporte-moi !
J'invoque nos rondes comme l'anneau d'or qui nous fonde.
N'oublie pas, nous sommes deux âmes
Deux âmes soeurs, coeurs d'amis d’âme.

Tout ce que tu dis nous justifie, je l'entends comme un cri.
Si tu vis ta vie, si près de moi, si loin de nos envies
Sache que je serai une réfugiée dans l'asile de nos îles.
Murée dans le silence, j'irai en transe vivre mes sens !

J'invoque nos ondes comme l'écho de tous mes mondes.
Si tu t'en vas loin de moi, tu nous tueras... Emporte-moi !
J'invoque nos rondes comme l'anneau d'or qui nous fonde.
N'oublie pas, nous sommes deux âmes
Deux âmes soeurs, coeurs d'amis d’âme.

Loin de ce qui nous ment, une pluie d'amour sur ce qui nous dément.
Je nous pardonnerai, rallumerai la flamme ton âme.

Si tu t'en vas si loin de moi, tu nous tueras... Emporte-moi !
J'irai en transe dans le silence, vivre mes sens, emporte-moi.