(Louis Amade/Gilbert Bécaud/Raymond Bernard/Pierre Delanoë)

Toi, ma princesse de juillet, toi qui dansais ce soir de fête
Toi, dis-moi, qu'es-tu devenue dans la cohue du soir de fête ?

Si, si, si, si, si seulement les fêtes duraient plus de temps
Si, si, si, si, si seulement, je n'avais eu peur de tes dix-sept ans
Oh, que je t'aurais dit, oh, que je t'aurais dit
Les mots émerveillés que pour toi je gardais.

Toi, ma princesse de juillet, toi qui dansais sous les platanes
Toi, ma princesse de l'été, fragile et petite flamme

Si, si, si, si, si seulement les fêtes duraient plus de temps
Si, si, si, si, si seulement je n'avais eu peur de tes dix-sept ans
Je t'aurais emmenée et tu m'aurais suivi
Au-delà de juillet, bien par-delà la nuit.

Toi, ma princesse disparue, juste entrevue un soir de fête
Mes yeux éternellement verront danser tes dix-sept ans.