(Richard Dewitte/Serge Koolenn)

Tous les matins, mes yeux s'ouvrent à sept heures.
Je serre l'oreiller contre mon cœur
Car il n'y a personne dans mes bras.
La place est vide et froide près de moi.
Vivre sans toi, c'est si dur parfois.
Le transistor est mon seul compagnon.
Les gens s'aiment dans toutes ses chansons.
Sous la douche, je commence à y croire.
En m'habillant, je reprend espoir car demain, je vais te revoir.

Samedi, samedi, on se retrouvera comme toutes les semaines.
Merci, merci de me faire l'amour tous les week-ends.
Du matin jusqu'au soir, on a rattrapé le retard.
Ça m'dit, ça m'dit d'apprendre la vie avec toi.

Si tu restes un bébé pour les parents
Pour nous deux, c'est tellement différent.
S'ils savaient que nous passons deux jours
Dans le fond d'un grand lit plein d'amour
Que demain, je vais te revoir...

Samedi, samedi, on se retrouvera comme toutes les semaines.
Merci, merci de me faire l'amour tous les week-ends.
Du matin jusqu'au soir, on a rattrapé le retard.
Ça m'dit, ça m'dit d'apprendre la vie avec toi.