(Romano Musumarra/Jack Robinson) adaptation française Marie Léonor

Kore, Bellek.

Vision d'orage, j'voudrais pas qu'tu t'en ailles.
La passion comme une ombre, fallait que j'y succombe.
Tu m'enlaçais dans les ruines du vieux Rome, yeah yeah.
À part nous, y'a personne, seul le tonnerre résonne
M'emprisonne, tourbillonne, yeah yeah.

Comme un ouragan qui passait sur moi, l'amour a tout emporté
Dévasté l'envie des rêves en furie qu'on ne peut plus arrêter.
Comme un ouragan, la tempête en moi a balayé le passé
Allumé le vice, c'est un incendie qu'on ne peut plus arrêter.

Vision d'image d'un voyage qui s'achève
Comme une nuit sans rêve, une bataille sans trêve.
Cette nuit à Rome, ton absence me dévore
Et mon coeur bat plus fort, ai-je raison ou tort
De t'aimer tellement fort ?

Comme un ouragan qui passait sur moi, l'amour a tout emporté
Dévasté l'envie des rêves en furie qu'on ne peut plus arrêter.
Comme un ouragan, la tempête en moi a balayé le passé
Allumé le vice, c'est un incendie qu'on ne peut plus arrêter.

Désir, trahir, maudire, rougir, désir, souffrir, mourir, pourquoi ?
On ne dit jamais ces choses-là, un sentiment secret, d'accord.
Un sentiment qui hurle fort.

Yeah yeah yeah, ah ah ah ah, ah ah ah ah.

Comme un ouragan qui passait sur moi, l'amour a tout emporté
Dévasté l'envie des rêves en furie qu'on ne peut plus arrêter.
Comme un ouragan, la tempête en moi a balayé le passé
Allumé le vice, c'est un incendie qu'on ne peut plus arrêter.