(Dorine Hollier/Romano Musumarra/Linda William')

Hymne à la nuit, quand tout s'est éteint, je revis.
Auprès de l'espace infini, j'appelle mon âme.
Hymne à la nuit, au secret gardien de mes cris.
À l'absent témoin qui me fuit, à la fin de nos rêves.
Hymne à la nuit qui nous livre aux étoiles.
Sans bruit, je me donne à ta joie.

L'impatience de nos corps en transe est plus forte.
Immense, je suis en toi, je suis en toi.
Le silence est encore plus dense que l'effort
Intense de nos émois, de nos émois.

Hymne à la nuit, qu'elle soit immortelle aujourd'hui.
Qu'elle couvre nos corps tout transis de son grand manteau d'astres.
Hymne à la nuit, peu à peu, qui s'efface
Sans bruit, dans l'azur qui se noie.

L'impatience de nos corps en transe est plus forte.
Immense, je suis en toi, je suis en toi.
Le silence est encore plus dense que l'effort
Intense de nos émois, de nos émois.

(Guitare solo)

L'impatience de nos corps en transe est plus forte.
Immense, je suis en toi, je suis en toi.
Le silence est encore plus dense que l'effort
Intense de nos émois, de nos émois.