(Dorine Hollier/Romano Musumarra/Linda William')

Toi ! L'enfant du sourire, Isadora déçue, il est con l'avenir
Tu danses dans la rue en dévoilant tes seins
Comme un trop blanc matin quand la Lune a sommeil.

Tu n'as d'autre soleil (Ha-Ha, Ha-Ha)
Que tes lèvres trop rouges (Ha-Ha, Ha-Ha)
Que tout ton corps qui bouge (Ha-Ha, Ha-Ha, Ha-Ha, Ha-Ha)
Dans les draps qui s'emmêlent (Ha-Ha, Ha-Ha)
Tu te vends par défi (Ha-Ha, Ha-Ha)
À son visage la nuit (Ha-Ha, Ha-Ha, Ha-Ha, Ha-Ha)
Tu l'dévisages, oui.

Va, amoureuse éphémère, de la passe à l'impasse, il est beau ton enfer
Tu pleures devant ta glace qui ne reflète rien
Qu'un effroi, qu'un chagrin, à nul autre pareil.

Tu n'as d'autre soleil (Ha-Ha, Ha-Ha)
Que tes lèvres trop rouges (Ha-Ha, Ha-Ha)
Que tout ton corps qui bouge (Ha-Ha, Ha-Ha, Ha-Ha, Ha-Ha)
Dans les draps qui s'emmêlent (Ha-Ha, Ha-Ha)
Tu te vends par défi (Ha-Ha, Ha-Ha)
À son visage la nuit (Ha-Ha, Ha-Ha, Ha-Ha, Ha-Ha)
Tu n'as d'autre soleil (Ha-Ha, Ha-Ha)
Que tes lèvres trop rouges (Ha-Ha, Ha-Ha)
Que tout ton corps qui bouge (Ha-Ha, Ha-Ha, Ha-Ha, Ha-Ha)
Dans les draps qui s'emmêlent (Ha-Ha, Ha-Ha)
Tu te vends par défi (Ha-Ha, Ha-Ha)
À son visage la nuit (Ha-Ha, Ha-Ha, Ha-Ha, Ha-Ha)
Tu l'dévisages, oui.